Le Mouvement des Jeunes Socialistes de la Haute Garonne (31) organise une :
en présence de Catherine Lemorton
Le mercredi 25 février à 20:30
à la Fédération du Parti Socialiste
3, Rue Lancefoc
à Toulouse
Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle va vous péter à la gueule!
Il existe des groupes politiques au Parlement européen, qui rassemblent des partis nationaux. Les principaux sont :
- le Parti populaire européen et les Démocrates européens (PPE-DE) dont le parti français UMP : libéral/conservateur [actuellement majoritaire : 288 eurodéputés]
- le Parti socialiste européen (PSE) dont le PS français : socialiste [second parti : 215 eurodéputés]
- l’Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe (ADLE) dont le MoDem : libéral [101 eurodéputés]
- l’Union pour l’Europe des nations (UEN) dont le RPF français : eurosceptique/conservateur [44 eurodéputés]
Ces données correspondent à l’actuel Parlement qui va être renouvelé en juin 2009. Ce Parlement a été élu en 2004. Au niveau national, en 2004 les Français avaient envoyé au Parlement 40 députés pour le Parti Socialiste, les Verts et le Parti communiste, contre 17 pour l’UMP.
Pour cette campagne les membres du Parti Socialiste Européen se sont réunis autour d'un texte commun : Le Manifesto. Ce démarrage d'un projet commun est un espoir pour une autre Europe.
Cette décision est motivée par l'idée que l'Europe que nous souhaitons, que nos concitoyens attendent, est une Europe qui n'est pas basé sur un simple lecture technocratique des dossiers et des organisations. Au sein du Parti Socialiste la place dans une liste pour ces élections doit dépasser les enjeux partisans et être au service d'un engagement honnête et sincère à travailler au progrès social des catégories les plus faibles et les plus exposées en refusant les inégalités comme une réalité indépassable.
L'enjeu européen est avant tout une réconciliation du peuple avec un idéal, la conviction que des hommes et des femmes puissent partager, au delà des frontières respectives, une identité commune, une culture commune et la possibilité de vivre ensemble dans la concorde. La réponse technocratique apportée par la pratique européenne de ces dernières années semble éloignée, pour les citoyens, de cet idéal qui pourtant les rassemblent. Le choix d'un élu est donc un signal fort envoyé au peuple. Le choix de privilégier l'engagement de terrain pour avoir des élus qui prennent des décisions en mesurant leurs impacts tant sociaux qu'humains pour orienter le travail des techniciens compétents est une attente que le Parti Socialiste se doit de relever.
La technicité s'apprend, la compétence existe dans notre pays et en Europe mais ce qu'attendent les citoyens d'élus européens c'est de donner un visage concret à cet échelon si éloigné et pourtant si proche dans l'organisation de nos vies quotidiennes. Ils veulent comprendre ce qui se joue et la nature des décisions prises. Quelle est la raison d'un parti populaire si celui-ci ne démontre pas que tous peuvent un jour représenter le Parti Socialiste ? Un ouvrier ne peut pas se voir refuser de représenter le Part parce qu'il n'a pas Bac+5. Un ouvrier doit croire qu'il peut représenter le Parti Socialiste parce que ses pairs plus aguerris seront là pour le soutenir.
L'enjeu européen ne peut pas être considéré comme un enjeu secondaire par un parti qui est un parti de gouvernement. Les places attribuées ne peuvent se faire pour consoler tel ou tel d'entre nous de ne pas avoir brillé autant qu'il le voulait lors du congrès de Reims. Le choix doit respecter les équilibres mis en place. J'ai pour ma part signé la contribution « Besoin de Gauche » par conviction. J'ai signé et défendu la motion portée par Martine Aubry publiquement et au sein des débats locaux. Je veille à ce que les idées restent plus importantes que les personnes. Cela permet aujourd'hui, et permettra demain, de fédérer les militants et nos concitoyens sur une vision de gauche qui ne peut être réductrice.
Mon école de militant et de représentation je l'ai faite dans la vie quotidienne des banlieues bordelaises aux villages de Bourgogne, de Midi Pyrénées et d'Aquitaine. Cette connaissance des réalités urbaines mais plus encore des désespoirs ruraux j'en fait une force dans mes engagements. Mon implication associative m'a donné la possibilité de mesurer les initiatives heureuses, novatrices et solidaires de nos concitoyens. C'est cette image là qui doit se trouver représenter sur les bancs européens, c'est à cette condition que nous serons crédible et que la gauche redeviendra un espoir.
Cette candidature honnête et sincère n'est pas naïve. Elle se veut un acte militant fort, preuve d'une réalité de renouveau au sein du Parti Socialiste. Actuellement conseiller municipal je n'ai pas l'ambition de cumuler les postes à responsabilités, l'Europe n'est pas une ambition mais une conviction.
Trois procès-verbaux sur quatre de l’inspection du travail sont classés sans suite par le Parquet.
Patrons impunis, inspecteurs du travail poursuivis : paradoxalement, ces trois dernières années, ce sont des contrôleurs et inspecteurs du travail qui se sont vu mis en cause dans l’exercice de leurs fonctions alors que Laurence Parisot a affirmé que «la liberté de penser s’arrête là où commence le Code du travail».
Le dernier en date, c’est Gérard Filoche.
L’inspecteur du travail est mis en examen pour un prétendu « chantage » vis-à-vis d’un patron qui refusait la réintégration dans son poste antérieur d’une salariée de retour de congé maternité et qui a demandé trois fois de suite, à l’égard de cette employée, déléguée syndicale, une autorisation de licenciement.
Signez la Pétition sur :