mercredi 13 août 2008

L'égalité se défend tous les jours

Il fait bon vivre dans une ville dynamique et en plein essor. Dans ces villes vous avez toujours un centre commercial, récent ou plus ancien qui vous sauvera de la faim autour de midi. En bus, en métro, en vélo ou en voiture, chacun son mode déplacement pour se trouver son repas idéal dans les nouveaux temples modernes du royaume de la consommation. C'est pour ma part en vélo que je me suis déplacé. Pour cause de développement durable et autres affichages marketing le sac à dos est de rigueur en l'absence de petits sacs plastiques à la caisse. Malheureusement ce sac me fut confisqué dès mon arrivée. Je n'ai pas relevé et je suis allé chercher l'objet de ma convoitise jusqu'à arriver, enfin, à la file d'attente de la caisse.

Nous savons tous que dans ces moments là il n'y a qu'une chose à faire : observer autour de soi avant de pouvoir enfin profiter de son achat. Ma surprise fut grande quand je vis une vingtaine de personnes entrer le sac à la main sans qu'on leur demande de le laisser. Des sacs ni plus petits, ni plus transparents que le mien et pourtant je suis le seul à avoir été rattrapé pour laisser mon sac !

En repartant je ne pu m'empêcher d'expliquer qu'à 20 ans on est pas plus voleur qu'à 40 ou 60 mais on m'a répondu qu'il s'agissait des consignes. J'ai répondu qu'à 20 ans on est un client comme les autres, on paye le même prix et que ce n'était pas la peine de nous prendre pour des C...(andouilles) mais c'était les consignes.

Cette petite histoire peut apparaitre anodine mais ce genre d'attitudes répétées, fondées sur des à priori pourrissent l'unité de notre République et bafouent quotidiennement notre devise : Liberté, Egalité, Fraternité. On devient victime d'être trop jeune, trop vieux, trop bronzé, trop handicapé, trop pauvre. Cela arrive partout : à l'entrée des discothèques, lors des contrôles d'identité et pendant les entretiens d'embauche. Ce qu'il faut retenir c'est que nous pouvons tous être victime de ces discriminations quotidiennes mais surtout nous pouvons souvent en être les auteurs. En tant qu'individu acteur et défenseur de la République nous avons le devoir de rester vigilants, de ne jamais oublier que l'on a toujours le choix d'appliquer ou non les consignes. Et sans appeler à la désobéissance quotidienne on a toujours le choix de la façon de les appliquer.


Hace bien vivir en una ciudad dinámica y en pleno desarrollo. En estas ciudades tiene siempre un reciente centro comercial, o más antiguo que los salvará del hambre alrededor de mediodía.En autobús, en metro, en bicicleta o en coche, cada uno su método desplazamiento para encontrarse su comida ideal en los nuevos templos modernos del reino del consumo. Es por mi parte en bicicleta que me desplacé. A causa de desarrollo sostenible y otras visualizaciones comerciales la mochila es de rigor en ausencia de pequeños bolsos plásticos a la caja. Desgraciadamente esta mochilla me confiscado a partir de mi llegada. No señalaron y fui a buscar el objeto de mi codicia. Por fin, a la fila, espera de la caja.
Sabemos todos que en estos momentos hay una cosa pendiente: observar en torno sí antes de poder sacar provecho de su compra. Que grande sorpresa de ver otros entrar con mochilla. Ni mas pequenitas, ni mas grandes.
En volviendo a salir mi podido m'impedir explicar que 20 años no se es más ladrón que 40 ó 60 pero él me respondió que era las consignas. Los Respondieron que 20 años se es un cliente como otros, se paga el mismo precio que otros; pero era las consignas.
Esta pequeña historia puede parecer anodina pero estas repetidas actitudes, basadas en a priori descompusieran unidad de nuestra República y ridiculizan diariamente nuestra divisa: Libertad, Igualdad, Fraternidad. Se convierte en víctima ser demasiado joven, demasiado viejo, demasiado bronceado, demasiado minusválida, demasiado pobre. Eso llega por todas partes: entrada de las discotecas, en los controles identidad y por el empleo. Es necesario retener que podemos todos ser víctima de estas discriminaciones diarias pero sobre todo podemos a menudo ser los autores. En tanto individuo protagonista y partidario de la República se tiene el deber de seguir siendo vigilante, nunca de no olvidar más que se puede elegir siempre aplicarse o no las consignas. Puede elegir como aplicarse las consignas.

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