Je ne sais pas où vous en êtes de vos lectures des contributions pour le prochain congrès du Parti socialiste, pour ma part j'ai lu celle de Ségolène Royal, Pierre Moscovici et Martine Aubry et entamé celle de Pierre Larrutourou. Par respect de mes écrits précedents je ne lirais pas celle de François Hollande, je crois que les bilans parlent plus que les écrits et je reconnais la qualité dialectique de celui qui est encore pour quelques mois Premier Secrétaire.
J'attends, comme tous, les premières réunions où nous pourrons enfin échanger et débattre. Dans ces lectures je regrette l'absence de reflexions sur les partenariats avec les Territoires d'Outre Mer et les Départements d'Outre Mer. Est ce l'effet Jeux Olympiques, mais je ne peux m'empecher de penser à mes concitoyens de St Pierre et Miquelon, de la Guadeloupe, de la Martinique, de la Guyane, de Mayotte, de la Réunion, de la Nouvelle Calédonie, de Wallis et Futuna et de la Polynésie Française qui portent aujourd'hui des revendications et des demandes particulières auxquelles nous devons apporter des réponses spécifiques.
Je garde de mes études universitaires de longues discussions sur la Guadeloupe et je m'apprete à relire l'Eloge de la Créolité de Jean Bernabé, Patrick Chamoiseau et Raphaël Confiant. Des discussions qui posaient aussi la question basque ou la question corse. Il faudra que le Parti Socialiste porte un discours clair sur ces questions. Un discours qui ne pas se décreter par une seule personne et s'imposer comme une vérité mais une ligne claire portée et partagée par tous les camarades sans distinction de territoire.
J'attends, comme tous, les premières réunions où nous pourrons enfin échanger et débattre. Dans ces lectures je regrette l'absence de reflexions sur les partenariats avec les Territoires d'Outre Mer et les Départements d'Outre Mer. Est ce l'effet Jeux Olympiques, mais je ne peux m'empecher de penser à mes concitoyens de St Pierre et Miquelon, de la Guadeloupe, de la Martinique, de la Guyane, de Mayotte, de la Réunion, de la Nouvelle Calédonie, de Wallis et Futuna et de la Polynésie Française qui portent aujourd'hui des revendications et des demandes particulières auxquelles nous devons apporter des réponses spécifiques.
Je garde de mes études universitaires de longues discussions sur la Guadeloupe et je m'apprete à relire l'Eloge de la Créolité de Jean Bernabé, Patrick Chamoiseau et Raphaël Confiant. Des discussions qui posaient aussi la question basque ou la question corse. Il faudra que le Parti Socialiste porte un discours clair sur ces questions. Un discours qui ne pas se décreter par une seule personne et s'imposer comme une vérité mais une ligne claire portée et partagée par tous les camarades sans distinction de territoire.
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