La préparation du congrès et les déclarations sont lancées. Je me suis déjà exprimé sur la responsabilité de nos dirigeants (que nous allons désigner) et de nous même, en tant que militant de contribuer à un grand congrès socialiste. Je souhaite des débats où nous pouvons aguerrir nos pensées personnelles pour faire avancer l'idéal socialiste, pas des échos de positions de futurs-ex ou d'ex-futurs candidats.
Parce qu'il s'agit bien de cela, porter à l'issue de notre congrès un grand projet de société qui soit de gauche et crédible. Une base de discussion avec les autres partis de gauche qui souhaitent prendre le pouvoir pour rétablir justice sociale et fraternité dans ce pays. Mais c'est aussi le besoin d'affirmer définitivement l'attachement du Parti Socialiste à la construction de l'Europe, dans une discussion avec les différents courants de gauche européens.
Je pense que la société française attend, et souvent souhaite, que le Parti Socialiste retrouve un regard objectif sur les difficultés actuelles pour proposer ensuite une feuille de route au pays. Ce diagnostic nous avons su le faire récemment pour les élections municipales et cantonales et nous l'avons souvent fait dans l'échange avec nos concitoyens. Des moments intéressants où nous avons eu un retour immédiat et concret sur les besoins, les aspirations actuelles. Ce travail devrait aujourd'hui être mutualisé pour amplifier son action.
Nous souhaitons être un parti de progrès, il n'y a pas de progrès sans prise de position claire, sans prise de risque. A part vouloir conserver une place de notable local et d'éternel second au niveau national.
Parce qu'il s'agit bien de cela, porter à l'issue de notre congrès un grand projet de société qui soit de gauche et crédible. Une base de discussion avec les autres partis de gauche qui souhaitent prendre le pouvoir pour rétablir justice sociale et fraternité dans ce pays. Mais c'est aussi le besoin d'affirmer définitivement l'attachement du Parti Socialiste à la construction de l'Europe, dans une discussion avec les différents courants de gauche européens.
Je pense que la société française attend, et souvent souhaite, que le Parti Socialiste retrouve un regard objectif sur les difficultés actuelles pour proposer ensuite une feuille de route au pays. Ce diagnostic nous avons su le faire récemment pour les élections municipales et cantonales et nous l'avons souvent fait dans l'échange avec nos concitoyens. Des moments intéressants où nous avons eu un retour immédiat et concret sur les besoins, les aspirations actuelles. Ce travail devrait aujourd'hui être mutualisé pour amplifier son action.
Nous souhaitons être un parti de progrès, il n'y a pas de progrès sans prise de position claire, sans prise de risque. A part vouloir conserver une place de notable local et d'éternel second au niveau national.
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